AFRIQUE DE L’OUEST

Bénin – Abomey-Calavi – École primaire du quartier d’Aledjo
Au Bénin, où seule la moitié des enfants de 6 à 17 ans va à l’école, les jeunes handicapés sont les premiers “sacrifiés” :
ils ne sont scolarisés que s’il reste aux parents assez d’argent, une fois que les frères et sœurs ont été inscrits.

 Bénin – Abomey – Centre hospitalier départemental du Zou
Avant d’être opéré, Alexis n’allait pas à l’école. « Les instituteurs ne voulaient pas de lui car il marchait à quatre pattes, à cause de la polio qu’il a eue à 2 ans », explique sa mère.
Aujourd’hui, le jeune garçon de 10 ans, l’un des “chouchous” d’Annick, la kinésithérapeute belge du centre de rééducation, est l’un des plus brillants élèves de sa classe.

Bénin – Abomey – Centre hospitalier départemental du Zou
La création du service de rééducation du centre hospitalier du département du Zou a été initiée par deux kinésithérapeutes belges. Annick et Christophe ont commencé leurs consultations
sous un hangar, en 1999, avant de convaincre des bailleurs étrangers de financer la construction d’un bâtiment moderne et bien équipé où travaillent sept kinés et infirmiers béninois. 

Bénin – Abomey – Centre hospitalier départemental du Zou
Peu d’enfants handicapés bénéficient de kinésithérapie : les parents sont mal informés ; les services spécialisés se comptent sur les doigts d’une main ;
et le coût des soins, payants, constitue un obstacle rédhibitoire pour les nombreuses familles qui ne bénéficient pas d’une prise en charge de leurs frais de santé par l’État ou une association humanitaire. 

 Bénin – Abomey – Centre hospitalier départemental du Zou
Les enfants handicapés qui bénéficient du programme de la fondation Terre des hommes, partenaire financier du centre hospitalier département du Zou,
sont opérés pour corriger les déformations de leur(s) membre(s) avant de suivre leur rééducation au centre hospitalier. Les parents ne versent qu’une participation symbolique.

Bénin – Abomey – Centre hospitalier départemental du Zou
À de rares exceptions près, comme ce bébé, les enfants arrivent souvent trop tardivement dans les centres de rééducation… quand ils ont la chance d’y aller.
Faute de kinésithérapie, les séquelles de pathologies qui auraient pu être bénignes sont devenues très handicapantes, car les muscles se sont rétractés et les articulations ont perdu leur amplitude normale. 

Bénin – Lokossa – Centre de rééducation Béthesda
La gypsothérapie consiste à plâtrer le membre déformé pour le redresser en insérant toutes les deux semaines une cale de plus en plus grosse au niveau de la déformation.
Une fois la malformation corrigée, l’enfant est appareillé, pour maintenir la correction, et suit une rééducation.
Quelques mois encore avant d’enlever l’orthèse - certains devront toutefois la garder toute leur vie - et il pourra marcher normalement. 

Bénin – Lokossa – Centre de rééducation Béthesda
Le traitement des malformations par le plâtre, qui peut prendre plusieurs mois pour les cas les plus lourds, coûte beaucoup moins cher qu’une intervention chirurgicale.
À budget égal, plus de patients peuvent donc être soignés. Le centre Béthesda est financé par des bailleurs étrangers, ce qui lui permet d’accueillir et de traiter les enfants quasi gratuitement. 

Togo – Lomé – Atelier d’un cordonnier handicapé
Au Togo, comme au Bénin, le handicap se jauge avant tout à l’aune de la dépendance… financière.
« Tant qu’elle n’est pas capable de subvenir à ses propres besoins, la personne handicapée est considérée comme un moins que rien. Elle ne peut même pas prendre part aux décisions familiales »,
explique François Katachom, le directeur de programme de la Fédération togolaise des associations de personnes handicapées. « Mais si elle gagne sa vie, son handicap disparaît à 90 %. »

 
 Bénin – Abomey-Calavi – Atelier de Mahoutin Agossa
Mahoutin Agossa a commencé par réparer des objets en plastique. Il est ensuite passé aux chaussures, puis à l’horlogerie et maintenant aux radios.
« J’ai tout appris tout seul », précise ce Béninois de 23 ans, myopathe, qui n’est allé à l’école que jusqu’au CM1.
Incapable de se tenir debout sans appui, il travaille assis par terre dans une pièce de la concession de ses parents, agriculteurs.

Bénin – Bohicon – Le jardin collectif de l’association  “L’union fait la force”
Dans un pays où la préoccupation de nombreux chefs de famille reste d’assurer le minimum vital, la personne handicapée est “a priori” considérée comme une charge.
Gagner sa vie pour sortir de ce statut de “bon à rien” est donc une priorité pour les Béninois handicapés, qui ne perçoivent aucune aide de l’État.
À Bohicon, huit d’entre eux se sont associés pour créer un jardin collectif qui leur procure de maigres revenus.

 

Bénin – Cotonou – Atelier de fabrication de “cargos” à trois roues
Les personnes handicapées sont les seuls béninois “autorisés” à aller s’approvisionner en essence au Nigeria, gros producteur de pétrole, par le “syndicat nigérian” qui contrôle ce trafic.
Les douaniers ferment les yeux au passage des scooters à trois roues, les “cargos”, qui transportent 400 litres d’essence de contrebande destinée à la revente.
Abel, l’un des pionniers de ce commerce assiste à la fabrication de son nouvel engin. 

Togo – Lomé – Dans les rue de la capitale
Délaissé par sa famille, Yao Sekolo a quitté son village natal pour aller mendier dans la capitale. Les 100 000 FCFA - 150 €, près de quatre fois le salaire minimum - que
ce Béninois handicapé des quatre membres gagne chaque mois lui permettent de rémunérer les tierces personnes dont il a besoin pour l’aider au quotidien.

 

Togo – Lomé – Terrain de basket du stade omnisports
« Combien de fois avons-nous entendu que les personnes handicapées n’étaient pas capables de faire du sport ! », fulmine Jacob Lawsen, l’un des piliers de l’équipe de basket-fauteuil de Lomé.
Mais les mentalités changent. À son retour des derniers Jeux de l’avenir, la délégation togolaise a été accueillie à l’aéroport par plusieurs ministres.
« Qui aurait dit, il y a quelques années, que des personnes handicapées connaîtraient un jour un tel honneur ? » 


HANDICAP / DISABILITY / DISCAPACIDAD

Afrique de l’Ouest / West Africa / África occidental


FRANCE

Christophe et Michaël

Adnan, polyhandicapé, et sa mère

 

Bruno et Monica

 
Escaliers
Ecole mixte
Ecole mixte - Longue vue

Audrey, atteinte du Syndrome de Rett

 

Marie-Odile et Alain - Salon

 

Marie-Odile et Alain - Promenade

 

Aide à domicile - Petit déjeuner

 

Aide à domicile - Levé

 

Aide à domicile - Petit déjeuner

 

Aide à domicile - Toilette

 

Aide à domicile - Levé

 
 
 
 
Ecole - Sensibilisation au handicap
Ecole - Sensibilisation au handicap 

Musée du Louvre - Adolescents atteints de handicap mental et moteur

 

Priscille Vincens, peintre

 

Salsa - Gregory et Ingrid

 
Activité grimpe d'arbre 
Basket
 

HANDICAP / DISABILITY / DISCAPACIDAD

France / Francia


SUÈDE

Suède – Mora – Dans les rues enneigées
La Française Gisèle a décidé de s’installer en Suède, il y a huit ans, lorsqu’elle a pris sa retraite. « Je savais qu’en arrêtant de travailler, je n’aurais plus les
moyens de payer les heures d’aide humaine dont j’ai besoin », explique cette ex-orthophoniste. « J’avais le choix entre rentrer en établissement spécialisé et y dépérir,
me suicider ou partir en exil. J’ai choisi l’exil. » En Suède, un pays qu’elle appréciait pour y avoir déjà séjourné et dont elle connaissait la politique du handicap.

Suède – Täby – Chez la famille Rocksten
Tout comme les adultes, les enfants bénéficient d’une allocation leur permettant de financer l’aide humaine dont ils ont besoin, qu’elle soit assurée par un de leurs parents ou
une tierce personne. Les 90 heures payées d’auxiliaire de vie de Katrin sont ainsi réparties entre une salariée, son père et sa mère. La jeune fille de 13 ans a également le droit de
passer quelques week-ends et semaines par an dans un centre d’accueil temporaire, afin d’offrir des temps de répit à ses parents. 

Suède – Halmstad – Chez Jennie Sjöström
Les personnes en situation de handicap peuvent bénéficier d’une allocation pour aide humaine à hauteur de leurs besoins. 24 heures sur 24 si nécessaire. 26 heures même
(deux heures en doublon le matin) pour Jennie, qui fait appel aux services d’une société spécialisée la journée tandis que son mari assure les heures de nuit, rémunérées. 

Suède – Halmstad – Gruppbostad du 7 Lummervägen
La Suède s’est engagée, dans les années 70, dans un vaste mouvement de fermeture de ses établissements spécialisés, jugés ségrégatifs. Aujourd’hui, les personnes handicapées,
mentales surtout, qui font le choix de ne pas vivre dans un logement indépendant, peuvent toutefois intégrer un Gruppbostad, qui abrite de petits appartements (six au 7 Lummervägen),
avec chambre et kitchenette, ainsi qu’un grand espace de vie commun. Des salariés les assistent et assurent une permanence. 

 Suède – Halmstad – Gruppbostad du 7 Lummervägen
Suède – Halmstad – Gruppbostad du 7 Lummervägen

Suède – Halmstad – Gruppbostad du 7 Lummervägen

 

Suède – Halmstad – Classe spéciale de Slottsjordsskolan
En Suède, les classes spéciales qui accueillent des élèves ayant des déficiences mentales sont intégrées au sein des établissements scolaires de la ville.
Et pour ne pas créer un ghetto, elles ne sont pas regroupées au même endroit mais réparties dans tout le bâtiment.
Certains enfants partagent même leur semaine de cours entre classe normale et classe spéciale. 

Suède – Halmstad – Classe spéciale de Slottsjordsskolan
Les élèves en situation de handicap moteur vont « naturellement » à l’école de leur quartier, à charge pour les pouvoirs publics de mettre à leur disposition les aides
techniques et humaines nécessaires. Les lycéens sévèrement atteints ont toutefois la possibilité d’intégrer l’un des quatre lycées spécialisés du pays.
Pour les enfants ayant des déficiences mentales, les parents sont totalement libres de décider s’ils iront à l’école ordinaire ou en classe spéciale.

Suède – Stockholm – Dans le métro
Stockholm a tenu son pari en 2010 de devenir la capitale la plus accessible du monde.
Le Français de passage n’est pas habitué à voir tant de rampes d’accès et d’élévateurs, devant la façade des bâtiments privés ou publics.
Et de nombreux bus et stations de métro sont accessibles aux voyageurs handicapés.


HANDICAP / DISABILITY / DISCAPACIDAD

Suède / Sweden / Suecia


HAITI

Haïti - Pétionville - Morne Hercule
Dégâts.

Haïti - Pétionville - Morne Lazare
Un homme évolue au milieu des décombres.

Haïti - Pétionville - Morne Lazare
Entre les maisons détruites sur la colline, des îlots d’habitations ont été épargnés par le séisme. Faute d’alternative de nombreuses familles y sont restées en dépit du danger.

Haïti - Port au Prince - Carrefour
Bidonville en bord de rivière. Un homme déverse des détritus sur lesquels se jettent les cochons.

Haïti - Port au Prince - Carrefour
Bidonville en bord de rivière.
Haïti - Pétionville
Vendeuses ambulantes.

Haïti - Port au Prince
Camp de réfugiés suite au séisme.

 Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Une jeune femme cuisine pour ses enfants occupés par la télévision.
Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Enfants occupés par la télévision.
Haïti - Port au Prince
Camp de réfugiés suite au séisme. Une vieille femme lave son linge.

Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Un homme se repose sous sa tente au confort sommaire.

Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Sous sa tente, une couturière s’affaire pour gagner quelques gourdes (monnaie haïtienne).

Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Fillettes.

Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Des enfants jouent au football avec pour ballon une bouteille en plastique.

Haïti - Pétionville
Camp de réfugiés suite au séisme. Des enfants jouent au football avec pour ballon une bouteille en plastique.

Haïti - Port au Prince
Camp de réfugiés suite au séisme. Des enfants sautent à la corde devant une usine qui alimente Port au Prince en électricité, mais pas leurs maisons de fortune.

Haïti - Port au Prince
Camp de réfugiés suite au séisme. Alimentation en eau d’une citerne fixe.

Haïti - Pétionville - Camp Jivena
Distribution alimentaire.
Haïti - Port au Prince - Camp Caress
Distribution alimentaire.

Haïti - Port au Prince
Marché.

Haïti - Port au Prince
Marché.
Haïti - Port au Prince
Marché.

Haïti - Port au Prince
Au centre du marché, deux hommes tentent de déboucher une canalisation engorgée par les détritus.

 Haïti - Port au Prince
Marché.
Haïti - Port au Prince
 Haïti - Port au Prince
Haïti - Port au Prince
Saint André Bazar.
 Haïti - Port au Prince
Saint André Bazar.
Haïti - Port au Prince
« Electronique Center ».

Haïti - Port au Prince
Jean Aubert quitte régulièrement sa campagne pour venir mendier dans les rues de la capitale.
Il passe alors plusieurs jours et dort dans la rue. Sans doute plus de 60 ans, il ne connaît pas son âge.

Haïti - Port au Prince
Un père et sa fille passent devant une flotte de corbillards, parqués devant une église.

Haïti - Port au Prince
Devant le palais du gouvernement en ruines, un des multiples camps de réfugiés de Port au Prince.
Au premier plan des enfants intrigués par la présence quotidienne d’un casque bleu.
Entre les 2, une inscription sur un bus rappelle : « Tout n’est que vanité ».

Haïti - Port au Prince
Près du palais du gouvernement en ruines, des enfants jouent.
Haïti - Port au Prince
Vendeurs de pièces détachées automobiles.
Haïti - Pétionville
"Cash for Work" - Travail contre nourriture.

Haïti - Port au Prince
Des ferrailleurs s’acharnent sur les restes de l’un des innombrables immeubles
détruits par le séisme pour récupérer ce qu’ils peuvent de métal.

Haïti - Port au Prince - Carrefour
La famille de Ricardo sur les ruines de leur ancienne maison, détruite par le séisme du 12 janvier 2010.

Haïti - Port au Prince - Carrefour
Entre les voies empruntées à vive allure par voitures et camions, beaucoup de familles
ont élu domicile avec femme et enfants sur le terre-plein central.

Haïti - Port au Prince - Carrefour
Entre les voies empruntées par voitures et camions, comme beaucoup d’autres,
la famille de Ricardo a élu domicile sur le terre-plein central.
 Haïti - Port au Prince - Carrefour
Entre les voies empruntées par voitures et camions, comme beaucoup d’autres,
la famille de Ricardo a élu domicile sur le terre-plein central.
 Haïti - Port au Prince - Carrefour
Entre les voies empruntées par voitures et camions, comme beaucoup d’autres,
la famille de Ricardo a élu domicile sur le terre-plein central.

HUMANITAIRE / HUMANITARIAN WORK / TRABAJO HUMANITARIO

Haïti – Six mois après…

Haïti – Six month later…

Haïti – Seis meses después …


INDE

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

HUMANITAIRE / HUMANITARIAN WORK / TRABAJO HUMANITARIO

Inde – Au lendemain du Tsunami

India – In the aftermath of the Tsunami

India – Al dia siguiente del Tsunami


PAKISTAN

Pakistan
8 octobre 2005 : le tremblement de terre au Nord Pakistan fait au moins 73.000 morts et près de 69.000 blessés.
Plusieurs milliers de villages et 5000 à 8000 écoles ont été ravagés.

Pakistan
3 millions de personnes sont affectées par la catastrophe, dont au moins 1 million de sans-abris.

Pakistan
Des milliers d’enfants victimes du séisme, se retrouvent orphelins et luttent pour satisfaire leurs besoins vitaux.

Pakistan
Le camp de Mera se met en place afin d’accueillir et porter secours aux victimes déplacées, majoritairement des habitants
des villages de hautes montagnes des contreforts de l’Himalaya. Au total, plus de 17.000 personnes seront accueillies.

Pakistan
Hôpital cubain.

Pakistan
Hôpital cubain.

Pakistan
Les populations locales viennent s’approvisionner en eau potable.

Pakistan
"Solidarités" entreprend des travaux pour acheminer l’eau dans tout le camp.
Son défi : mettre en place un réseau d’eau pouvant distribuer 220.000 litres d’eau par jour.

Pakistan
Étroite collaboration entre volontaires et populations locales pour la mise en place des canalisations.

Pakistan
Les camions citernes viennent renforcer l’acheminement en eau du camp
en remplissant les réservoirs mis en place par "Solidarités".

Pakistan
Les travaux achevés, les habitants du camp bénéficient d’une eau potable
en quantité suffisante et à proximité de leurs tentes.

Pakistan
Les travaux achevés, les habitants du camp bénéficient d’une eau potable en quantité suffisante et à proximité.

Pakistan
Les travaux achevés, les habitants du camp bénéficient d’une eau potable en quantité suffisante et à proximité.

Pakistan
La vie reprend peu à peu son cours au sein du camp.

Pakistan
Visite des écoles mises en place dans le camp afin de sensibiliser les enfants à l’hygiène.

Pakistan
Mais il reste encore beaucoup à faire. "Solidarités" étend son action aux camps et aux villages environnants afin d’identifier l’ampleur
des dégâts et les attentes des populations locales. Concertation et réflexion avant la mise en place de travaux dans le camp de Batera.

Pakistan
Les équipes vérifient la construction d’un point d’eau réalisé selon leurs conseils.

Pakistan
Contrôle de la qualité de l’eau.

Pakistan
Laurent se déplace dans les lieux parfois très difficiles d’accès afin de contrôler le débit des sources pouvant alimenter les villages.

Pakistan
Contrôle de la qualité de l’eau.

Pakistan
Concertation avec le chef de village dans le camp de Al Rasheed.

Pakistan
Le programme eau et assainissement de "Solidarités" comprend également la distribution de kits d’hygiène contenant savon, dentifrice, peignes anti-poux, etc...

Pakistan
Pour les villageois, l’heure est maintenant à la reconstruction.

Pakistan
Pour les villageois, l’heure est maintenant à la reconstruction.

Pakistan

Pakistan

Pakistan
Les volontaires, ont su construire une relation forte avec la population locale, un élément clé dans la réussite des projets.

Pakistan

Pakistan
La mission au Pakistan a permis de couvrir la réhabilitation de 80 réseaux d’eau,
et la construction de 1.200 latrines, au profit de 99.900 personnes.


HUMANITAIRE / HUMANITARIAN WORK / TRABAJO HUMANITARIO

Séisme au Nord Pakistan – De l’eau pour les sinistrés

Earthquake in the North of Pakistan – Water for the refugees

Terremoto en el norte de Pakistán – Agua para los refugiados


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